Par Rédacteur petite lanterne
On y apprend ainsi qu'un an jour pour jour après son attentat perpétré par une petite main du KGB via les services secrets bulgares, un autre homme a voulu s'en prendre au souverain pontife Jean Paul II.
Cette nouvelle passée quasi inaperçue, est inédite, le pape blessé à la main a poursuivi sa visite dans les lieux saints de Fatima. Où il retournera d'ailleurs sans appréhension particulière.
Son secrétaire particulier, le cardinal polais Stanislaw Dziwisz s'en est fait l'écho dans un documentaire anglais Testimony, projeté jeudi soir au Vatican. Le délai de secret de rigueur était-il passé ?
Une fois de plus, on note la force de caractère de l'homme de Dieu et sa volonté de souffrir sans médire. Aucun journaliste n'en a rien su.
Le texte du Figaro précise encore :
Selon le prélat, l'attentat s'est produit lors d'une visite au sanctuaire de Fatima (Portugal), le 12 mai 1982. Un prêtre espagnol ultraconservateur, Juan Fernandez Krohn, s'est approché de lui un couteau à la main et a eu le temps de le blesser légèrement avant d'être ceinturé par les gardes du corps. L'agresseur a été emprisonné «diverses années» au Portugal avant d'être expulsé vers son pays. Les journalistes n'en ont jamais rien su. Le pape a poursuivi sa visite comme si de rien n'était, mais «nous avons pu constater qu'il y avait du sang par terre», relate le cardinal Dziwisz.
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